L'hostile forêt Amazonienne
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AMAZONIE: Là ou l'argent n'a aucune utilité
L'Amazonie est une région naturelle d’Amérique du Sud. Au sens strict, elle correspond au bassin amazonien, l'immense bassin versant de l'Amazone et de ses affluents. Au sens large, elle comprend aussi le plateau des Guyanes, adjacent au nord et similaire en termes de climat et de végétation. L'Amazonie est couverte en grande partie par la forêt amazonienne. Sa superficie est de 5 500 000 km2.
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Le climat amazonien est chaud et humide durant toute l'année. La température moyenne régnant en Amazonie est de 25 °C. Les précipitations moyennes sont de 2 100 à 2 450 mm/an, avec cependant des zones au nord-ouest atteignant plus de 10 000 mm/an. La forêt amazonienne est la deuxième plus grande forêt du monde, derrière la taïga et l'une des régions les plus humides de la planète, d'où une grande richesse en biodiversité.
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Quoique l'impact de l'Amazonie sur la production d'oxygène soit neutre, elle est souvent et non scientifiquement considérée comme le « poumon de notre planète ». Néanmoins, la poursuite de sa destruction engendrerait de très graves conséquences écologiques, environnementales et humaines, non seulement sur les 200 peuples indigènes (soit près de 1,3 million de personnes), mais pour l'ensemble de l'humanité et de la vie sur Terre, ayant notamment un fort impact sur le réchauffement climatique.


Lieux habités
La vallée de Javari, d’une superficie totale de 85 444km², constitue l'un des plus grands territoires indigènes au Brésil. Le territoire est situé à l'extrême ouest de l'état d'Amazonas, près de la frontière du Pérou. Son nom est issu du fleuve Javari, le principal cours d'eau de la région. Depuis 1851, le Javari forme une frontière naturelle définissant les limites des territoires brésiliens et péruviens. Il existe dans cette région d’autres fleuves tout aussi importants : le Quito, l'Itaguaà et l'Itui.
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La Vallée de Javari serait la terre natale de 3000 indigènes d'ethnies différentes. Les principaux groupes d'indigènes sont les Matis, les Kulina et les Matsé.
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En août 2018, le nombre de tribus avec lesquelles des Brésiliens non indigènes sont entrés en contact se portait à huit. Seize autres tribus non contactées, dites isolées, ont été reportées par le biais d’images satellites. Parmi celles-ci, à ce stade, onze ont été confirmées sur place via la récolte de preuve de traces humaines.

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